J’aide Jo’Anna à descendre de son siège-auto, elle me dit : « merci », ce à quoi je répond, polie : « il n’y a pas de quoi ». S’en est suivie une crise de larme : « MAIS SI Y A DE QUOI !!!! ».
J’aide Jo’Anna à descendre de son siège-auto, elle me dit : « merci », ce à quoi je répond, polie : « il n’y a pas de quoi ». S’en est suivie une crise de larme : « MAIS SI Y A DE QUOI !!!! ».